UNE ACTION AMNESTY INTERNATIONAL
La prochaine audience de Justyna Wydrzyńska arrive à grands pas, et avec elle une possible lourde peine de 3 ans de prison. Le 11 janvier, après plusieurs reports, la défenseure des droits humains polonaise comparaîtra une nouvelle fois devant le tribunal de Varsovie.
La raison ? Avoir aidé une femme à avorter en 2020 et détenir des médicaments sans autorisation “dans le but de les introduire sur le marché”. Les pilules abortives sont pourtant essentielles pour continuer de garantir des avortements sécurisés et accessibles en Pologne et partout ailleurs.
Cette tentative de punir les défenseur⋅es du droit à l’avortement doit être empêchée. Il est encore temps de faire pression sur les autorités polonaises et de leur montrer que nous n’abandonnerons ni Justyna, ni toutes les personnes susceptibles de tomber enceintes en Pologne.
Agissez avec nous et écrivez directement au Procureur général de Pologne en suivant les instructions ci-dessous.