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Gaza et la loi de Brandolini

1. Le Hamas est partout

Israël ne cible que le Hamas.


2. Il n’y a pas de famine à Gaza

L’aide alimentaire arrive à Gaza, les camions ne sont pas bloqués, ni saccagés, par des milices ou des militants israéliens, les terres agricoles n’ont pas été détruites.


3. La loi de Brandolini

Il faut beaucoup plus de temps et de travail, d’énergie, pour réfuter ou ruiner une contre-vérité, que pour l’émettre.

L’informaticien italien Brandolini a donné son nom à cette formule également appelée « Principe d’asymétrie des baratins ». (Informations et liens sur Wikipedia.)

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2 réponses à “Gaza et la loi de Brandolini”

  1. Avatar de Christine Pagnoulle
    Christine Pagnoulle

    Et trop souvent des photos, parfois insoutenables, des constatations directes de convois bloqués, de frappes aléatoires, ne suffisent pas à contrecarrer les affirmations les plus absurdes.

  2. Avatar de Loix
    Loix

    C’est désastreux, mais je constate que nous montrons notre vrai visage, celui de colons, sans humanité aucune. On est revenu 3000 ans en arrière , au bon temps des dieux nationalistes, Yavé ( en passant par les Anglais qui dominaient alors la Palestine, ) a donné ( rendu ) la terre promise, punissant les habitants du génocide commis par l’Allemagne et les Nazis de toutes origines.
    Nos « amis » « grands frères » américains ont utilisé la Bible pour envahir leur territoire , comment pourraient-ils remettre ce texte en question ? avant eux toute l’Amérique latine a été colonisée, et reste dominée par une bourgeoisie blanche, au nom de l’évangélisation, c’était alors le Bon Dieu, mais on n’a pas laissé tombé la Bible qui permet tout. Les droits de l’homme ont été signés après la dernière guerre mondiale, car l’URSS n’était pas vaincue , l’article qui a été invoqué pendant toute ma jeunesse, était celui de la propriété privée. L’Europe et les pays du Bénélux en particulier ont bénéficié progressivement de tous les avantages, sécurité sociale, et une assez grande liberté d’expression et de mouvement, la peur du communisme après le guerre a été un formidable levier.

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